Vous cherchez de quoi remplir (ou faire déborder encore plus) votre liste de lecture pour les prochains jours ?
dièses est là pour vous y aider ! Nous avons en effet réuni pour vous nos publications des derniers mois sur les questions de validisme et de grossophobie, à retrouver ci-dessous :
- Nous avons discuté avec Mélanie Deaf, enseignante en LSF, YouTubeuse et sourde de naissance, de l’importance qu’a pour elle la transmission de la culture sourde.
- Marion Dorval témoigne pour notre revue de l’absurdité et de l’humiliation qu’engendrent les procédures de reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH).
- Entretien avec l’activiste Corps Cools, qui milite pour une lutte radicale contre la grossophobie – et pour une meilleure prise en compte de cette oppression au sein des milieux féministes.
- L’activiste Charlie Mostro nous parle de la joie paradoxale que peut offrir un diagnostic d’autisme, et de la stigmatisation de la folie parfois entremêlée à cette joie.
- (Mal) nommer les maladies mentales ajoute-t-il au malheur de ce monde ? Cette réflexion d’Hervé Guillemain sur l’histoire des noms donnés à ces maladies (et en particulier à ce qu’on appelle aujourd’hui la schizophrénie) nous invite à y réfléchir.
- Les personnes handicapées ne sont-elles vouées qu’à recevoir notre pitié (ou à nous donner des « leçons de vie ») ? C’est pour renverser ce stigmate que sont nées les théories crip, dont Charlotte Puiseux nous présente ici les fondements.
- Nous avons republié en novembre (avec l’accord de La Mule du Pape) une enquête sur les violences policières subies par des personnes souffrant de troubles psychiatriques.
- Où travaillent les personnes en situation de handicap ? Loin d’avoir accès aux mêmes opportunités que les personnes valides, elles doivent en fait souvent se contenter de postes peu valorisés socialement, comme nous le montre Margaux Rollin.
- Contrairement à certaines idées reçues, la lutte contre la grossophobie n’est pas apparue soudainement au cours des dernières années. Elle a même une riche histoire derrière elle.
- La stigmatisation et le manque de prise en compte de la dyslexie ravagent encore bien des vies, comme en témoigne Alicia.
- « À force de ne parler que d’autisme « au féminin », on finit par figer et essentialiser certaines caractéristiques, et en oublier le pourquoi et le comment », relève Charlie Mostro pour dièses.
- Des preuves d’une solidarité en direction des plus vulnérables existent pour la période néolithique – et peut-être même pour Homo erectus. De quoi nous inspirer pour aujourd’hui ? (Article de l’anthropologue Valérie Delattre.)
- Quel rôle peut jouer l’ABA pour l’inclusion des personnes autistes ? Cette discipline scientifique, qui découle du comportementalisme, est l’objet de beaucoup de critiques – et d’incompréhensions. Selon Morgane Burnel, elle pourrait néanmoins, sous conditions, être bénéfique à l’inclusion des enfants autistes.
- Enfin, est-il possible de dire sa folie dans une société qui passe son temps à la stigmatiser ? C’est la question que pose Agathe Martin, membre du collectif Comme des fous.